Puisque j'avais récemment fait allusion aux romans policiers, revenons, si vous le voulez bien, sur ce sujet.
Et plus précisément d'une série d'histoires, mettant en scène un journaliste, et ses deux chats siamois. Le journaliste s'appelle Jim Qwilleran, et ses deux chats Ko-Ko et Yom-Yom. C'est le chat Ko-Ko, de son vrai nom Kao Ko Kung, qui permet au journaliste d'y voir clair, et de découvrir le coupable.
Dans les tous premiers volumes, Qwilleran, qu'on peut se représenter physiquement en regardant une photo de Mark Twain, fume la pipe.
En voici un petit extrait, que vous apprécierez je pense :
La fumée de la pipe atteignit les narines de Qwilleran qui remarqua :
-Vous utilisez du tabac écossais.
-Comment le savez-vous ?
-Je fumais la même marque : Groat & Boodle numéro cinq.
-Exactement ! J'ai fumé du Auld Clootie numéro trois, pendant longtemps, mais j'ai changé de marque, l'année dernière.
-J'avais l'habitude d'alterner Groat and Boodle et Aul Barleyfumble.
Qwilleran s'installa dans le fauteuil et savoura l'odeur de sciure mélée à son tabac favori.
J'aime beauoup ce petit dialogue, qui décrit assez exactement les propos que peuvent échanger deux amateurs. Ne cherchez pas les marques dans Tobaccoreviews, elles n'existent pas.
Pour tout dire, notre héros a arrêté de fumer, pour plaire à une jeune femme, mais il le regrette :
Qwilleran se prit à regretter de ne pas avoir sa pipe. Le rite de l'allumer avait souvent servi de pause pour adoucir les difficultés d'une interview délicate.
On peut trouver ces livres aux éditions 10-18. L'auteur, Lilian Jackson Braun, a fait mentir Jean Cocteau, qui disait qu'il n'y a pas de chats policiers. Et on peut surtout passer un bon moment à les lire, tout en fumant une bonne pipe.
Et plus précisément d'une série d'histoires, mettant en scène un journaliste, et ses deux chats siamois. Le journaliste s'appelle Jim Qwilleran, et ses deux chats Ko-Ko et Yom-Yom. C'est le chat Ko-Ko, de son vrai nom Kao Ko Kung, qui permet au journaliste d'y voir clair, et de découvrir le coupable.
Dans les tous premiers volumes, Qwilleran, qu'on peut se représenter physiquement en regardant une photo de Mark Twain, fume la pipe.
En voici un petit extrait, que vous apprécierez je pense :
La fumée de la pipe atteignit les narines de Qwilleran qui remarqua :
-Vous utilisez du tabac écossais.
-Comment le savez-vous ?
-Je fumais la même marque : Groat & Boodle numéro cinq.
-Exactement ! J'ai fumé du Auld Clootie numéro trois, pendant longtemps, mais j'ai changé de marque, l'année dernière.
-J'avais l'habitude d'alterner Groat and Boodle et Aul Barleyfumble.
Qwilleran s'installa dans le fauteuil et savoura l'odeur de sciure mélée à son tabac favori.
J'aime beauoup ce petit dialogue, qui décrit assez exactement les propos que peuvent échanger deux amateurs. Ne cherchez pas les marques dans Tobaccoreviews, elles n'existent pas.
Pour tout dire, notre héros a arrêté de fumer, pour plaire à une jeune femme, mais il le regrette :
Qwilleran se prit à regretter de ne pas avoir sa pipe. Le rite de l'allumer avait souvent servi de pause pour adoucir les difficultés d'une interview délicate.
On peut trouver ces livres aux éditions 10-18. L'auteur, Lilian Jackson Braun, a fait mentir Jean Cocteau, qui disait qu'il n'y a pas de chats policiers. Et on peut surtout passer un bon moment à les lire, tout en fumant une bonne pipe.
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