24 juin 2006
Random ouvre son blog
23 juin 2006
Boxitabacophile

Je ne sais pas si le mot boxitabacophile existe, à vrai dire. Il y a peut-être un nom pour les collectionneurs de boîtes de tabac.
20 juin 2006
Dernières nouvelles
18 juin 2006
Oncle Paul

Rappelez-vous : l'Oncle Paul racontait à ses deux neveux des épisodes héroïques, tragiques, comiques, fantastiques, toujours vraies, de la petite et de la grande histoire.
Nous ne verrons plus l'Oncle Paul...
D'abord, s'il existait de nos jours, voilà longtemps qu'on aurait remplacé sa pipe par autre chose : on en est plus à un montage près. Et même si certaines de ses histoires, sous la plume de Jean Graton, qui s'occupera de Michel Vaillant, sont rééditées, on peut se rendre compte que l'Oncle Paul n'apparaît pas sur la couverture de ces recueils, comme c'était le cas avant.
C'est qu'en ce temps-là, Jésus disait aux Pharisiens... non pardon, je m'égare, à cette époque donc, on n'avait encore aucune honte à montrer à nos chères têtes blondes des fumeurs de pipe. Déjà, rien que dans le Journal de Spirou, Franquin nous montrait ainsi Fantasio et l'irascible Prunelle. De même que l'oncle - encore un ! - Georges, personnage comique des aventures de Khéna.
Alors voilà, je sais bien que demain c'est la fête des pères, mais je crois que ceux-ci se feront aussi un grand plaisir en emmenant leur enfant, pour lui offrir et lui faire découvrir ces belles histoires, racontées par un fumeur de pipe.
17 juin 2006
Clinquant et Haute Couture
On ne m'en voudra pas d'emprunter à d'autres des sujets pour ce blog, puisqu'il est assez suivi pour servir de support à quelques discussions.
En effet, une pipe de forme classique, ou une variation sur celle-ci, ne fait pas d'effet. "Ca en jette pas".
Tout se passe comme si le pipier devait obligatoirement présenter des formes abracadabrantes, hors-normes. Mais voilà que ce pipier nous montre une simple billard, une bête canadian, une prince, une pot. Pas de bague en corozo, pas de tuyau en cumberland, même pas toujours le brillant d'un acrylique.
Et voilà qu'il réclame une certaine somme d'argent ! et même une somme d'argent certaine !
Et du coup l'on fait la fine bouche. A ce prix là, pourquoi acheter une simple pipe ?
Pourquoi ne pas plutôt pencher pour une pipe, dont la forme plaît, fabriquée en série ?
On admire d'ailleurs cette forme, qui, réalisée à la main, aurait demandée beaucoup plus de travail ! et aurait donc coûté beaucoup plus cher... Par chance, ça n'est pas le cas.
Car il est beaucoup question de prix dans tout ça, quoiqu'on s'en défende. L'argent ne fait rien à l'affaire. Bien sur, jamais on achéterait une pipe à ce prix-là, on est bien au-dessus de ces contingences. Mais enfin, quoiqu'on ne s'arrête pas à ça, on en cause. Et c'est même l'argument principal : pourquoi payer cher pour une billard ?
Une billard, à faire, c'est si simple ... On va même jusqu'à supposer que cette pipe n'est certainement pas aussi bonne qu'une pipe d'occasion. Car outre qu'on parle de ce qu'on ne connaît pas, on fait aussi dans la boule de cristal.
Ce qui est dommage, c'est que dans tout cela, on oublie de se poser la question de savoir pourquoi une billard plaira plus qu'une autre. Car enfin, c'est toujours le cas, et il y a bien des raisons à cela.
En effet, pourquoi telle entreprise, ou tel pipier, va-t-il créer une pipe qui nous accroche plus qu'une autre ? Pourquoi, entre deux pipes, allons-nous préférer celle-ci plutôt que celle-là ?
Vous remarquerez que je pose la même question deux fois, mais c'est pour rétablir l'équilibre, puisqu'il me semble, à l'évidence, qu'on ne se la pose pas assez.
Et puisque jen ai parlé, pourquoi telle pipe apparaît-elle plus équilibrée qu'une autre ? Pourquoi l'une va nous sembler plus élégante ?
Allez, puisqu'il a été question de tests à l'aveugle, en voici un intéressant : faisons choisir par un proche deux photos de deux pipes du même modèle, et d'un pipier différent. Et penchons-nous un peu là-dessus. Analysons un peu nos impressions. Nous allons, sur certains critères, faire pencher notre préférence.
Intéressant exercice il me semble, auquel je devrais me prêter plus souvent.
Parce que nous devons exercer notre oeil, et notre goût.
Nous avons tous entendu parler de Paul Belmondo, le père, qui était sculpteur. Ce que l'on sait moins, c'est que jusqu'à la fin de sa vie, tous les dimanches, cet homme de grand talent se rendait au Louvre, et regardait.
Bien sur, vous allez dire que je tape haut, et que nous ne sommes pas tous des sculpteurs de renom.
Mais si un sculpteur peut continuer à aller apprendre, je crois que nous serions bien présomptueux en n'essayant pas tout au moins d'en faire autant ?
Alors bien sur, on peut se tromper. Il ne s'agit pas de se laisser aller à tout accepter, comme ça, sans discuter. Mais imaginons : nous avons préféré la pipe de marque X, bruyère garantie, à, mettons, une Tom Eltang.
Est-ce nous qui avons raison ? Est-ce qu'obligatoirement, avec notre bon sens, nous sommes dans le vrai ?
Est-ce qu'il ne serait pas bon de se demander si nous ne sommes pas dans l'erreur ?
Bien sur, on pourra ricaner en disant que déjà j'oriente mon discours.
Mais il ne s'agit pas de cela. Qui sait si cette pipe de marque X n'est pas la reproduction du travail d'un pipier de talent ?
Là n'est pas vraiment la question d'ailleurs, le tout serait de pouvoir dire pourquoi nous avons préféré tel modèle à tel autre. Parce que c'est là que ça devient intéressant.
Il ne s'agit pas seulement, dans le cas d'une billard, de faire une courte tige au bout d'un fourneau, avec un tuyau court. Tenez, je suis en veine, une autre histoire. Elle se passe dans un atelier de sculpteur, pour ne pas changer, et quoiqu' elle soit vrai, je n'ai plus les noms. Un "patron", puisque c'est ainsi que l'on nomme ceux qui enseignent la sculpture, demande à un de ses élèves de lui dessiner un oeuf.
L'élève ne s'émeut pas, sort ses compas, et dessine un superbe oeuf.
Le patron sort une pièce d'un sou (heureux temps !), et lui demande d'aller acheter une douzaine d'oeufs. L'élève revenu, son panier sous le bras, le patron lui fait comparer son croquis et la future omelette : aucun oeuf n'est pareil.
Qu'est-ce qui fait qu'un oeuf fait plus "oeuf" qu'un autre ? Qu'est-ce qui fait qu'une billard est plus une billard qu'une autre ?
Bien sur, une forme "académique" demandera moins de travail que d'autres, mais on aurait tort de croire que parce que la forme est simple, le travail l'est aussi.
Autre sujet que je revois souvent, et que j'ai d'ailleurs lu sur mon forum, c'est l'expression "haute couture" pour les pipes artisanales. Pour tout dire, j'ai moi-même souscrit à cela, mais finalement, l'expression me semble un peu légère. C'est un raccourci, bien, sur, ça va plus vite, mais on rate un peu le paysage.
Combien d'entre nous se rendent régulièrement avenue Montaigne, accompagné de Madame, pour faire nos emplettes ? Très peu, je pense. D'autant plus que si nous avions cet argent là, on ne le dépenserait pas là-dedans, suivez mon regard...
Il est de fait que nous regardons d'un oeil arrondi ceux qui peuvent se le permettre. Il y a un fossé entre eux et nous. Et c'est justement ce que je reproche à cela : vouloir encore creuser le fossé. D'abord si l'on y regarde bien, une pipe artisanale revient bien moins cher qu'une robe sur-mesure achetée dans le Carré d'Or.
Mais c'est surtout que l'on semble dire que ceux qui achètent des pipes "haute couture" ne sont pas du même monde. Ce sont des excentriques, n'est-ce pas. Certains ne sont pas méchants, mais enfin, tout de même, mieux vaut ne pas les approcher.
Un peu comme s'il y avait les acheteurs riches, et ceux qui se contentent des pipes vendues sur la grand place, le jour de marché. Ils regardent les gens du chateau descendre de leur Ferrari, et allumer quoi ? une pipe de trois ou quatre cent euros !
Et les riches, les nobles, comme chacun sait, ça ne pense qu'à bastonner. Bientôt nous entendrons les "Ah ça ira !".
J'ai vu quelques intérieurs de pipiers, ou leurs ateliers -seulement en photo hélas - et bien ça n'a rien à voir avec les ateliers d'un grand couturier.
Alors oublions cela : qu'elles soient artisanales ou industrielles, il y a de bonnes et de mauvaises pipes, des pipes belles et des pipes moches. Cessons de regarder l'étiquette, et si nous critiquons, que ce soit à bon escient.
16 juin 2006
un Buraliste à Epinal

Une fois n'est pas coutume, plutôt que pleurer sur notre sort de pauvres fumeurs, et sur la dureté des temps, je vais pour une fois me montrer optimiste, et même envieux.
14 juin 2006
Dernières nouvelles

D'autre part, quelques jours après avoir acheté le Capstan à la Civette, j'y suis retourné. Je suis tombé sur d'autres vendeuses, qui m'ont bien donné une boîte de Capstan.... ouverte ! Dommage qu'elles n'aient pas cru bon de me le signaler...
Ensuite, je me suis trouvé une nouvelle secrétaire : c'est bon de se sentir moins seul.
Pour finir, un membre du groupe a posé une question : un fumeur de pipe doit-il se déclarer comme fumeur auprès de son assurance ?
Question intéressante, qui mérite un autre message, et que je sois plus frais.
Le fumeur de pipe est-il normal ?

Très curieusement, le fumeur de pipe a une image vieillotte, pour ne pas dire rétrograde. L'idée de l'homme posé, bon vivant, ignorant du stress, que beaucoup voudrait nous faire avaler, a parfois aussi du mal à passer, mais on l'oppose à celle du nerveux fumeur de cigarette, qui n'a pas le vent en poupe.
J'ai une très mauvaise nouvelle : le fumeur de pipe est comme les autres, ni plus, ni moins.
Je parlais d'image rétrograde : là aussi, il faudrait nuancer. La majorité des fumeurs de pipe que nous croisons ne donnent pas l'impression de se connecter à Internet bien souvent, le mot mail les laisse froids, quand aux virus, ils les attrapent en hiver.
Mais combien d'autres fumeurs de pipe sont à la pointe ?
Beaucoup, il suffit de voir le nombre de visiteurs des forums, sites, blogs, pour se rendre vite compte qu'un fumeur averti en vaut deux.
Il y a d'ailleurs, comme beaucoup d'autres, une certaine fascination pour l'aspect technique de l'informatique. Je ne parle pas de ceux dont c'est le métier, mais des amateurs.
Je suis à chaque fois surpris de constater à quelle vitesse des discussions portées sur divers OS, sur les avantages des uns et des autres, peut vite se déclarer. Je dis se déclarer parce que ça va aussi vite qu'un incendie.
On peut montrer une belle pipe, annoncer l'arrivée d'un nouveau pipier, ça ne fait bondir personne, mais qu'un membre d'un forum parle d'un ennui avec son antivirus, là ça dépote !
L'utilisateur lambda d'un ordinateur embarquant Windows est très vite sujet à de certaines réflexions. Le fana de Mac et le linuxien vont rester aimable, mais on sent assez vite une pointe de pitié pour celui qui utilise un truc si mal fichu.
Au point que j'ai voulu un jour tenter l'expérience du libre, et téléchargé un butineur dont on dit beaucoup de bien à droite et à gauche. Le soir même, j'avais du faire une remise à zéro, relancer l'installation de XP, et me farcir pas mal de petites choses à remettre en place. J'ai su par la suite qu'il y avait justement une alerte de sécurité sur ce programme, que les bidouilleurs de virus commencent à regarder avec des yoeux doux...
Ca a été la seule fois où j'ai du procéder à une réinstallation du système, mais on m'a assuré quand même que bon, chez crosoft y a encore plus de virus, que c'était pas de chance, que rien ne vaut le libre, qu'en plus c'est gratuit, etc...
Bref, plein de messages de fumeurs avertis.
Déjà, rien qu'à lire ça, je sais que les irréductibles du monde libre vont avoir du mal à ne pas mettre leur grain de sel....
Mais voilà, le fait est là brutal, nous avons donc bien affaire à une frange de population tout à fait dans la norme.
Avez-vous pourtant noté comme le mot "débonnaire" revient souvent dans la description d'un fumeur de pipe ?
Ca semble beaucoup plus compliqué de trouver un non-fumeur débonnaire... et si jamais vous avez croisé dans votre vie un fumeur de cigarette débonnaire, merci de nous contacter au plus vite pour nous donner son signalement.
Un portrait robot peut-être affiché sur le site, pour faciliter les recherches.
Je peux même offrir une Chacom, en prime.
De même que l'on parle souvent de l'art de fumer la pipe.
Jamais de l'art de manger du boudin aux pommes.
Donc, fumer la pipe serait un art ? Voyons, restons calmes, tout ça ce sont des mots.
L'artiste, c'est le pipier, le créateur de pipe, ou le blender.
Parce que si c'est de l'art, alors, nous devrions tout arrêter : plus de pipe en bricolant, en jardinant, au travail, devant son ordinateur, non, non, isolez-vous, et fumez.
Vous pouvez même demander à vos enfants d'aller jouer dans la cave, pour ne pas déranger Papa.
Je dois d'ailleurs noter que cette notion d'art de fumer, je ne l'entends jamais chez un amateur averti, mais plutôt dans la bouche de ceux qui nettoient leur pipe marquée bruyère véritable tous les trente six du mois.
Séance de rattrapage ? Ou tentative de se démarquer ?
Il faut dire que le fumeur de pipe se sent parfois un peu seul : combien de pipes avez-vous croisé dans la rue aujourd'hui ? Alors voilà, puisque nous sommes si peu, puisque nous sommes même parfois décriés, nous tentons de redorer notre blason.
Et parfois maladroitement.
Je comprends très bien qu'on éprouve parfois le besoin de raconter ce que l'on ressent en fumant tel mélange dans telle pipe, parce qu'il y a des moments rares, et que les avis sur un tabac ou un pipier que l'on ne connaît pas sont toujours bons à prendre, mais de là à nous assurer que le Caporal que l'on vient de fumer dans sa BC Jules Verne est un pur moment de bonheur, puis à nous redire quel bonheur on a éprouvé à fumer ce sublime tabac dans une maïs, je trouve ça un peu longuet.
On connaît tous le Caporal, on a tous des BC, tous une maïs, pourquoi vouloir à tout prix nous faire croire que nous avons tout pour être heureux ?
Dois-je écrire un mot sur mon groupe de discussion à chaque fois que je fume mes Moretti ?
Et puis, je ne pense pas qu'il faille parler d'art alors que nous sommes parfois comparés à une espèce en voie de disparition.
Comprenez moi bien : nous devons rester accessible. Que nous soyons flattés de voir que notre tabac est apprécié, très bien, que notre pipe fait le tour de la table, parfait, d'ailleurs rendez-la moi, c'est pas un jouet, mais en quoi cela nous rendrait-il différents des autres ?
Parce qu'on a le coup de main, qu'on bourre sans y penser, nous serions des artistes ?
Quand j'étais jeune, il m'est arrivé de faire de la plongée sous-marine. Je me souviens que le responsable du petit club avait accueilli un jeune garçon, qui voulait faire son baptême de plongée, par ces mots : "c'est un métier, p'tit gars". Le p'tit gars est parti sans demander son reste.
Alors, ne soyons pas comme ce délicieux animateur de club, ne nous sentons pas artistes parce que nous fumons la pipe, inutile de nous sentir supérieur au fumeur de clopes... qui d'ailleurs si ça se trouve est bien meilleur informaticien que vous !
Ne donnons pas de leçons, montrons l'exemple.
Criez avec moi : Oui, je suis un homme comme les autres !
13 juin 2006
Mélanges de mélanges dans mélange
07 juin 2006
Maniaques et incultes

05 juin 2006
La gourde du détective

Voici ma calabash, avec son présentoir. Cette pipe fait bien sur immanquablement penser à Sherlock Holmes. De même qu'un fumeur de pipe droite va inévitablement s'entendre appeler Maigret, la pipe courbe, la gourd calabash, va rappeler Holmes.
C'est à un acteur que nous le devons.
De même que c'est à Raimu que nous devons la partie de cartes. Comme quoi, les acteurs ont parfois du bon sens, et même parfois des traits de génie.
Nous n'imaginons donc pas Holmes sans sa calabash, et il en va de même pour ses nombreux imitateurs, notamment Harry Dickson, les Sherlock Holmes américain, que nous devons à un écrivain belge.
Par extension, qui dit pipe dit souvent énigme policière. Je ne peux m'empêcher de vous parler du crime parfait, puisqu'il fait intervenir, bon nombre de fois, des fumeurs de pipe. Pour ceux que la question intéresse, je ne saurais trop conseiller la lecteure, ou la relecture, du Mystère de la Chambre Jaune, où le jeune Rouletabille fume la pipe, et une nouvelle non-fumeur, mais indispensable à tout futur criminel ou détective, Thérèse et Germaine, une courte histoire arrivée à Arsène Lupin.
On ne saurait aussi trop conseiller aux amateurs de crime en chambre close, les romans de John Dickson Carr, imbattable sur le sujet (meurtre inexplicable dans un ascenseur, dans une piscine, etc...) et ceux de celui que j'allais appeler son alter ego, ou son plus fervent admirateur, Paul Halter.
Egalement, les livres de Marcel Lanteaume, réédités au Masque. Marcel Lanteaume a écrit des meurtres en chambre close absolument incroyables ! mais pour son grand malheur et le notre, ses livres ne faisant pas recette, il a brûlé, un soir de désespoir, la dizaine de manuscrits en attente... Il n'en reste que deux ou trois.
Bref, toutes ces histoires sont pleines de fumeurs de pipe. De pipes pour les enquêteurs, de brûle-gueule pour les policiers.
Je ne parle pas du côté enquiquinant, pour ne pas dire plus, de Holmes et de ses cendres de cigarettes, de cigare et de pipe. Je parle d'atmosphère, d'ambiance, de réflexion, de soirées au coin du feu...
En ce qui concerne la calabash, je dois dire que je la fume peu. C'est amusant de temps à autres, mais on ne peut la tenir entre les dents, ou alors, allongé, calée sur la poitrine. Le plus curieux est de voir comment on procède pour donner cette forme à la courge.
J'ai connu un fumeur patient de calabash comme la mienne : il la fumait tous les soirs : la patine obtenue est splendide !
02 juin 2006
Gardons notre calme

Il m'est difficile d'écrire ces temps-ci : j'héberge mes parents, une fois n'est pas coutume, et la chambre, dont la porte reste ouverte, est juste à côté du bureau...